Rouen wieże, geografia, Laissez vous conter (FRA)

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L’église Saint-Éloi
est reconstruite aux XV
e
et XVI
e
siècle : en témoignent
les formes Renaissance
de la partie haute
de la façade occidentale
ainsi que le premier étage
de la tour du clocher.
D'anciennes verrières,
aux coloris chatoyants,
subsistentdans l'édifice.
L’église contient également
des sculptures, dont le tombeau
de Marin le Pigny médecin
rouennais, et un orgue
du XVIII
e
siècle.
L'église Saint-Éloi est, depuis
1803, affectée à l’Église
réformée.
MUSEUM
Villes et pays d’art et d’histoire
TOUR
J. D'ARC
MUSÉE DES
ANTIQUITÉS
À l'ouest
Les paroisses
des marchands
Nombre de commerçants
et de paysans se côtoient
dans cet espace très ancien
de la ville, situé entre les églises
Saint-Sauveur et Saint-Eloi :
au « Viel marché » (actuelle
place du Vieux-Marché)
et au « Marché aux Veaux »
(actuelle place de la Pucelle).
« vendue à démolir » en 1793,
ont été mis au jour. Pour
répondre à l’activité marchande
de la place une halle abrite,
au Moyen Âge, bouchers et
poissonniers. Puis ce seront de
vastes halles au XIX
e
siècle qui
perdureront jusqu’en 1960.
L’idée de Louis Arretche,
architecte de la nouvelle église,
a été de créer une harmonie des
volumes entre la place, l’église
et le marché, d’où ces formes
courbes et élancées ressemblant
à un jeu de vagues. Il a allié,
pour ce faire, des techniques
modernes et des matériaux
anciens. La nef est couverte
de bois rappelant des églises
normandes de jadis. L’église
en béton supporte, sur une
charpente à doubles courbures,
150 tonnes d’ardoises.
6
JARDIN ET
MUSÉE DE LA
CÉRAMIQUE
ÉGLISE
SAINT-PATRICE
MUSÉE
DES
BEAUX-ARTS
5
ÉGLISE
SAINT-GODARD
MUSÉE LE SECQ
DES TOURNELLES
MUSÉE
PIERRE
CORNEILLE
ÉGLISE
SAINTE-JEANNE
D’ARC
7
HÔTEL
DE VILLE
4
MUSÉE
JEANNE D'ARC
PA LAIS DE
JUSTICE
ABBATIALE
SAINT-OUEN
TEMPLE
SAINT-ÉLOI
MONUMENT
JUIF
ÉGLISE
SAINT-VIVIEN
8
3
GROS
HORLOGE
CATHÉDRALE
AÎTRE
ST-MACLOU
Temple Saint-Eloi
1
ÉGLISE
ST-MACLOU
2
Le temple Saint-Éloi
8
L'eau de son puits était si fraîche
que les Rouennais disaient :
« froid comme la corde du puits
de Saint-Éloi ».
L'église
Sainte-Jeanne-d'Arc
7
L'illustre tragédien, Pierre
Corneille (1606-1684)
fréquente la paroisse Saint-
Sauveur et en est le trésorier.
ouverture :
Renseignements
à la Maison paroissiale de l'Église
réformée de Rouen
laissez-vous
conter
LEXIQUE
Arc-boutant :
arc de pierre qui contre-bute les voûtes gothiques
à l’extérieur d’une église Gâble.
Chanoine
: clerc, membre du chapitre (conseil) d’une cathédrale.
Décor flamboyant :
remplage des baies aux formes allongées comme
des flammes.
Décor rayonnant :
remplage des baies aux formes rondes.
Gâble triangulaire :
couronnement de forme triangulaire,
souvent ajouré et orné, qui coiffe l’arc d’une voûte ou d’une baie.
Parlement de Normandie :
cour de justice souveraine
et permanente, remplace l’« Échiquier », juridiction suprême
de Normandie, itinérante.
Pinacle :
petite pyramide en épi qui couronne l’extrémité
des cultes et des arcs-boutants.
Triforium :
galerie permettant l’entretien des parties hautes
Voûte sur croisée d’ogives
: voûte à croisement d’arcs
répartissant le poids de la voûte vers les piliers.
les clochers de Rouen
La décision de construire l’église
contemporaine, inaugurée en
1979, reposait sur la volonté
d'édifier un monument national
d'hommage à Jeanne d'Arc
et de reconstruire une église
suite à la destruction de Saint-
Vincent en 1944. Les vitraux
de cet édifice, déposés avant
la guerre et remontés dans la
nouvelle église, sont un chef-
d’œuvre du vitrail français de la
Renaissance. Ils ont été réalisés
par deux prestigieux ateliers du
16e siècle, celui des Le Prince de
Beauvais, et celui des peintres
verriers marqués par l’artiste
flamand Arnoult de Nimègue.
Les vestiges de l’église
Saint-
Sauveur,
témoin du martyre
de Jeanne d’Arc en 1431 et
ouverture :
Tous les jours, 10h-12h,
14h-18h (17h30
du 1/11 au 31/3)
Fermée le vendredi matin
Renseignements
réservations :
Rouen appartient au
réseau national
des Villes et pays d’art et d’histoire
Le ministère de la Culture et de la Communication, direction
de l’Architecture et du Patrimoine, attribue l’appellation Villes
et pays d’art et d’histoire aux collectivités locales qui animent
leur patrimoine. Il garantit la compétence des guides conférenciers
et des animateurs du patrimoine et la qualité de leurs actions.
Des vestiges antiques à l’architecture du XX
e
siècle, les villes
et pays mettent en scène le patrimoine dans sa diversité.
Aujourd’hui, un réseau de 130 villes et pays vous offre
son savoir-faire sur toute la France.
église Sainte-Jeanne d’Arc
Direction
du développement
culturel/service
médiation-éducation
Rouen, ville d'art
et d'histoire
Aître Saint-Maclou
186, rue Martainville
76000 Rouen
le service médiation-éducation de la Ville de Rouen
a conçu ce dépliant. Il coordonne les initiatives de « Rouen Ville,
d’art et d’histoire » et propose toute l’année des animations
pour les Rouennais et pour les enfants. Contact : 02 32 08 31 01
Aître Saint-Maclou 186 rue Martainville
Tél. : 02 32 08 13 90
fax : 02 35 89 25 61
Remerciements
à Henry Decaëns, historien et Jérôme Decoux
du Service régional de l’Inventaire et du Patrimoine pour leur relecture.
À proximité
Dieppe, Fécamp, Le Havre, Elbeuf et le Pays d’Auge bénéficient
de l’appellation Villes et pays d’art et d’histoire.
© Photos : collections bibliothèques
de Rouen : T. Ascencio-Parvy.
A. Bertereau et L. Arnaud
         HistoiRe
Avec le développement
du christianisme, Rouen a
mérité d’être appelée la « ville
aux 100 clochers ». On en
dénombre près de cent à la veille
de la Révolution ; cette période
trouble voit la suppression
de nombreuses paroisses
et communautés religieuses.
Les grands travaux
d'urbanisme et d'assainissement
du XIX
e
siècle, ainsi que
les bombardements
de la seconde guerre mondiale
poursuivent le mouvement
pour ne laisser subsister
aujourd'hui que le tiers
de ces clochers.
Les églises évoquées ici
sont des édifices majeurs
de Rouen, témoins de l'histoire
de la ville, de l'évolution
de l'architecture et de la vie
des quartiers où elles sont
implantées. Elles ont en
commun d'avoir connu
et subi les mêmes événements :
incendies au XIII
e
siècle, guerre
de Cent Ans, guerres de religions
au XVI
e
siècle… À l’origine
simples chapelles, vouées à un
ou plusieurs saints extérieurs
à la ville, les églises s’érigent peu
à peu en paroisses, notamment
à l’époque ducale. Elles font
l'objet de reconstructions
après la guerre de Cent Ans,
durant la seconde moitié
du XV
e
et au début
du XVI
e
siècle,
ainsi que d'importants
travaux de restauration
jusqu'à nos jours.
Les clochers de ces églises
jouent un rôle important
dans la ville en un temps
où la vie paroissiale
est intense : les messes
se succèdent toute la journée,
annoncées par les cloches
de l'église. Les Rouennais
sont tenus d'assister
à la messe de leur curé.
Certains laïcs s'associent
en « Fabrique », pour gérer
les comptes de la paroisse.
D'autres forment des confréries
pour œuvrer à des actions
de charité.
Les églises parvenues jusqu'à
nous ont gardé, chacune,
leur propre identité
par leur implantation
géographique dans la ville,
par leur architecture singulière
leur conférant une forme,
des proportions et un décor
différents, ainsi que par
le mobilier surprenant
qu'elles renferment.
Au centRe
De lA cité
La cathédrale
Notre-Dame
1
La légende rapporte que saint Romain,
évêque de Rouen, a vaincu le monstre
des marais, dit « La Gargouille ». Saint
Romain est devenu le patron de la ville.
À l'est
Les paroisses populaires
et la riche abbaye
C’est dans les quartiers Saint-
Maclou et Saint-Vivien, traversés
par la rivière du Robec et ponctués
de moulins, que s’installent
marchands et artisans du textile,
meuniers et boulangers.
Côté rue Saint-Vivien, tout près
de l’angle de l’église, on peut
voir une ouverture, élément
d’une ancienne fontaine. On a
longtemps cru qu’il s’agissait
d’un tour d’abandon destiné à
recueillir les enfants abandonnés.
ouverture :
renseignements
au Centre paroissial Saint-Marc
de Rouen Est
Au noRD
Les paroisses des notables
À proximité du château
de Bouvreuil, siège du pouvoir
royal à compter du XIII
e
siècle,
dont il subsiste un donjon,
et du Parlement de Normandie*
à la Renaissance, les églises
de ce quartier nord de la ville ont
rassemblé des paroissiens
issus de la noblesse.
L'église Saint-Patrice
6
Le cardinal de la Rochefoucault,
archevêque de Rouen au
XVIII
e
siècle la qualifia de
« plus belle cure de Rouen ».
au milieu de grisailles (vitrage
incolore) du XV
e
siècle,
de vitraux-tableaux, sur fond
de perspective, du XVI
e
siècle,
comme le célèbre « Triomphe
du Christ », œuvre des grands
peintres verriers Engrand
et Jean Le Prince de Beauvais.
Ces deux verrières figurent dans
la chapelle de la Vierge. Un
baldaquin doré du XVIII
e
siècle
coiffe l'autel principal (XVII
e
).
L’église est pourvue
d’un orgue de chœur
et d’un orgue de tribune
dont le buffet, classé,
date du XVII
e
siècle.
À l’entrée, les portes en
bois sculptées ont un décor
Renaissance. L’élévation de l’église
est composée de grandes arcades,
d’un triforium aveugle
et de fenêtres hautes au décor
flamboyant. Les voûtes sur croisée
d'ogives sont décorées
de clefs très ouvragées. Un Christ
en croix sur une « poutre
de gloire », suspendu au milieu
de la nef, s'impose à l'œil
et contribue au fastueux décor
souhaité au XVIII
e
siècle.
L'escalier à vis gothique,
en pierre, permet d'accéder
à l'orgue dont le buffet sculpté
date de 1518. Deux colonnes
de marbre noir et blanc
soutiennent l’ensemble.
Les verrières du XV
e
siècle,
épargnées par la guerre grâce
à leur dépose en 1939,
sont un bel exemple de l’art
du vitrail de cette époque.
La fontaine « aux enfants
pisseurs » située à l'angle
de l'église date du XVI
e
siècle.
L’ancien cimetière attenant
à l’église « le petit aître »
est complété lors de la peste noire
de 1348 par « le grand aître »,
toujours visible 186,
rue Martainville.
De structure semblable
à Saint-Vivien et à Saint-
Godard avec ses 3 nefs
de même hauteur,
l'église Saint-Patrice
est enchâssée dans un quartier
aisé. Le clocher, surmonté
d'un campanile, permet
de distinguer l’église
des résidences et hôtels
particuliers qui l'entourent.
Son architecture date
des XVI
e
et XVII
e
siècles ;
le plan rectangulaire
est modifié par l'adjonction
de deux chapelles au niveau
du chœur. Au XIX
e
siècle,
la voûte en bois est remplacée
par une voûte de pierre
et le portail est entièrement
reconstruit.
Les parlementaires, résidents
du quartier, contribuent
à son embellissement
en offrant vitraux, mobilier,
tableaux et laissent la trace
de leurs armoiries.
Des prêtres très cultivés
s'y succèdent et créent
au XVII
e
siècle
une communauté
qui tient des écoles
pour les enfants du quartier.
Elle s’installe au nord
de l'église, à la limite
des remparts de la ville.
L'église est renommée
pour un ensemble de verrières
de la Renaissance : des vies
de saints légendaires colorées
Au IV
e
siècle un groupe cathédrale
est édifié au cœur de la cité
gallo-romaine. Il est composé
de deux édifices parallèles
séparés par une cour.
Au VIII
e
siècle, des bâtiments
destinés à la vie communautaire
des chanoines* complètent
l’ensemble. Suivra, en 1020,
une cathédrale romane
dont il reste la crypte.
Puis la construction
de la cathédrale gothique
commence au XII
e
siècle,
par la tour Saint-Romain
et se termine au XVI
e
siècle
par la tour de Beurre.
La flèche de bois et de plomb
du XVI
e
siècle, détruite par
un incendie au XIX
e
siècle
est remplacée par une flèche
de fonte culminant à 151 mètres
du sol. Pendant la seconde
guerre mondiale, la cathédrale
est très endommagée mais
résiste. Elle ne sera rouverte
qu’après 12 ans de travaux.
La tempête de 1999 fait tomber
l’un des 4 clochetons de cuivre
situés à la base de la flèche.
À l’intérieur, d’énormes piliers
soutiennent la voûte sur croisée
d’ogives*, à 28 m de hauteur,
renforcée par les arcs-boutants*
à l’extérieur. Cette technique
de construction gothique
a permis d’évider les murs
et de créer d’immenses verrières.
Les grandes périodes de l’art
Elévation de la cathédrale
L'église Saint-Maclou
2
Georges II d'Amboise la nomme,
en 1521, gardienne des « Saintes
Huiles » en reconnaissance des services
rendus par son fidèle curé Artus Fillon.
L’abbatiale Saint-Ouen
4
La brochure « Laissez-vous
conter l’abbaye de Saint-Ouen »,
disponible dans le monument,
relate l’histoire et l’architecture
de l’église abbatiale.
Portail de l’église Saint-Vivien
L'église Saint-Godard
5
Sa crypte a renfermé la sépulture
de l'évêque saint Romain,
inhumé en 639.
du vitrail y sont représentées
du XIII
e
au XX
e
siècle.
La nef, flanquée de bas-côtés,
de 60 mètres de long, s’élève
sur 4 niveaux : grandes arcades
en arc brisé, fausses tribunes,
triforium* et fenêtres hautes.
Le transept est doté en son
centre d’une tour lanterne,
caractéristique en Normandie.
Le déambulatoire abrite
les tombeaux des ducs
de Normandie et des statues
déposées de la façade de l’édifice.
Il s’ouvre sur 3 chapelles
rayonnantes dont l'une renferme
le tombeau de l'archevêque
Georges d’Amboise, promoteur
de la Renaissance à Rouen,
sur lequel il figure avec son neveu,
Georges II d'Amboise.
L'église Saint-Vivien
3
Une confrérie de paroissiens instaurent
une « mutuelle médiévale » pour aider
les « pauvres malades qui ne pourront
gagner leur pain ».
Clocher de l’église Saint-Godard
En 1437 débute la nouvelle
construction de l'église Saint-
Maclou, qui dura jusqu'en 1521.
Ce chef-d’œuvre du gothique
flamboyant présente un porche
original en arc de cercle,
à cinq pans surmontés de gâbles
triangulaires*. La rose centrale
est encadrée par 2 tourelles
aveugles surmontées de
pinacles*. La tour lanterne
contribue à éclairer l'église et
affiche sa flèche du XIX
e
siècle,
restaurée en 2005.
Le cimetière de l'église
Saint-Godard s'étendait
au sud vers l'église
Saint-Laurent, aujourd'hui
musée de la Ferronnerie.
L'édifice est composé de 3 nefs
d'égale hauteur et d'une tour
carrée du XVII
e
siècle, restée
inachevée. Son architecture
date des XV
e
et XVI
e
siècles
et ses ouvertures sont de décor
gothique flamboyant.
Sur la porte du pignon
occidental figurent
les armes de Louis de Brézé,
grand sénéchal de Normandie,
époux de Diane de Poitiers.
À l’intérieur, les nefs de l’église
sont couvertes de bois.
Les vitraux frappent
par leurs couleurs vives,
en particulier le rouge,
à l'origine du dicton
populaire qui disait,
en parlant d'un vin rouge
coloré : « Il est de la couleur
des vitres de Saint-Godard ».
Le plus connu de ces vitraux
est « L'Arbre de Jessé »
ouverture :
mardi, mercredi, jeudi,
samedi, dimanche
10h-12h 14h-18h (17h30
du 1/11 au 31/3)
d'Arnoult de Nimègue (1506),
situé dans la chapelle
de la Vierge. Celle-ci
renferme le tombeau
en marbre blanc (XVII
e
)
de Charles et Pierre
Becdelièvre, marquis
d'Hocqueville et de Quevilly,
dont l'hôtel particulier
de la rue Faucon abrite
aujourd'hui le Musée
de la Céramique.
L'église dispose d’un orgue
de chœur et d’un orgue
de tribune Cavaillé-Coll
classé.
L'édifice se présente comme
une église halle, à trois nefs de
même hauteur, au plan quasi-
rectangulaire lui conférant une
forme massive. L'ensemble est
fermé à l'est par un chevet plat et
3 pignons, autrefois bordés par la
rue Gerbe d'Or, disparue.
L’édifice maintes fois remanié
fait apparaître une architecture
des XIV
e
(au nord), XV
e
(à l’est),
et XVI
e
(au sud) avec la chapelle
dédiée à saint Mathurin, patron
des toiliers, dans ce quartier à
l'activité textile. Le porche de
la façade a été modifié au XIX
e
siècle. Les fenêtres reflètent les
différentes époques, aux décors
rayonnants* et flamboyants*.
Sur la face nord, le cadran
extérieur de l’ancienne horloge
est conservé à la base du clocher.
Le mécanisme a été déplacé pour
être exposé dans le Gros Horloge.
Le buffet de l’orgue, classé, abrite
des boiseries du XVI
e
siècle.
ouverture
:
samedi 16h-19h en alternance
avec l'église Saint-Godard
Nef et orgue de l’abbatiale Saint-Ouen
Clocher de l’église Saint-Patrice
Flèche de l’église Saint-Maclou
Grande vue de Rouen du
Livre des Fontaines
de Jacques Lelieur
ouverture :
du 1
er
avril au 30 octobre :
7h30-19h (dimanche 18h)
du 1
er
novembre au 31 mars :
7h30-12h et 14h-18h
fermée le lundi matin
ouverture :
samedi
16h-19h en alternance
avec l'église Saint-Patrice
ouverture :
lundi, vendredi, samedi, dimanche
10h-12h 14h-18h (17h30 du 1/11
au 31/3)
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